
« Objectif atteint ! » Il n’est plus seulement un grand Président. Les frappes aériennes coordonnées cette nuit en Syrie permettent à Emmanuel Macron de devenir un vrai chef de guerre.
Certains observateurs auront cependant noté que ces frappes ont été réalisées sans mandat de l’ONU. Notre rédaction est en mesure de vous en révéler la raison : Emmanuel Macron souhaitait être, en personne, aux commandes de l’un des Rafale engagés durant le raid sur la Syrie. Il craignait que l’ONU essaie de le dissuader de ce geste héroïque et a donc choisi de frapper vite.
À la sortie du cockpit, Emmanuel Macron, euphorique, saluait quelques-uns de ses fans dont un certain Serge Dassault. « Vraiment Serge, bravo ! C’est vraiment une belle bête ! Quelle reprise ! J’espère que cette petite séance de promotion te permettra d’en vendre quelques uns ! La planche de bord manque de ronce de noyer à mon goût, mais il faudra quand même que j’en parle à Édouard Philippe. Ça le changerait tellement de ses jets privés « so old school ».
De nouveaux objectifs opérationnels
Après une séance de dédicaces, le président s’est entretenu avec le ministre de l’Intérieur. Sa petite virée nocturne lui a visiblement donné des idées. Selon nos sources, Emmanuel Macron envisagerait désormais d’avoir un recours systématique aux forces aériennes. Trois objectifs auraient d’ores et déjà été identifiés : La ZAD (Zone À Détruire) de Notre-Dame-des-Landes si les occupants ne restituent pas les chèvres qu’ils séquestrent depuis des années, le Q.G. des principaux syndicats cheminots en cas de poursuite de la grève durant les vacances de la zone B et le campus de Tolbiac si les étudiants grévistes échouent à leurs examens.
Qu’on se le dise, notre président est déterminé à ne rien lâcher, si ce n’est quelques missiles à 2,86 millions d’euros l’unité…
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