« Le prochain qui me dit joyeux anniversaire, il se prend un paquet de nouilles dans la tronche! »

Aujourd’hui est un jour un peu spécial pour nous à worldtvdésinfo. En effet, Jean-Luc Mélenchon fête ses 66 ans. Pour cette occasion unique, nous avons mené une enquête approfondie sur la naissance et la vie de celui qui est devenu le Grand Gourou de la secte Insoumise. Un petit conseil, d’abord : allez coucher vos marmots, préparez couvertures, bougies, chapelets et crucifix, serrez-vous bien les uns contre les autres et tenez-vous prêts. Car nous allons vous révéler des choses très très terrifiantes.

Melenchón l’exilé

Jean-Luc Mélenchon n’est pas un vrai français pure souche bien que son côté râleur, revendicateur et son amour du comté peuvent le laisser croire. Ne vous y fiez pas ! Ses grands-parents paternels étaient espagnols et son nom s’orthographie en réalité « Melenchón ». Ce qu’il a bien sûr tenté de nous cacher, le fourbe. El Grande Gourou Melenchón naquit donc le 19 Août 1951 à Tanger, au Maroc (vous commencez déjà à voir le lien avec la future secte islamo-gauchiste…). Il y vivra jusqu’à ses 11 ans, puis vint le temps de l’exil.

Il semble que ce fut une épreuve difficile à vivre pour lui. C’est sans doute là que Melenchón commença à devenir ronchòn. Il parait que les autres enfants, lucides sur sa nature de dictateur, n’étaient pas toujours gentils avec lui : l’étranger, le « pied noir ». On comprend ainsi aisément la proximité entre les idées de Melenchón et celles du FN. En tant qu’exilé, il sait trop bien lui-même qu’il vaut mieux rester chez soi (quitte à en crever) que de devenir un étranger en France.  Des documents d’archive révèlent d’ailleurs que Melenchón voulait interdire le FN. Le but non avoué était sans aucun doute de pouvoir s’approprier son électorat, en prévision de son plan diabolique : devenir Président.

Mémé 68

En Mai 68, Melenchón a 17 ans : il est élève au lycée Rouget-de-Lisle de Lons-le-Saunier dans le Jura… Où il ne se passe pas grand-chose. Inacceptable pour Melenchón, que ses amis surnommaient alors « Mémé ». On aurait préféré « Yanluc » mais on ne va pas réécrire l’histoire. La bête politique qui sommeillait en lui se réveille. Mémé, le tribun en devenir, monte sur les tables de classe et agite tout ce petit monde jusqu’alors bien tranquille et sage :

« Hé ho ! Les gens ! À Paris ils font l’amour entre deux lâchers de pavés pendant que nous on est là à étudier pour le bac comme des cons ! Secouez-vous la nouille un peu ! »

Fait notoire, lors des élections des délégués de classe, non content du résultat, Mémé se rend compte qu’il est possible de révoquer les élus en récoltant suffisamment de signatures. Ce qu’il fera évidemment. Cela ne vous rappelle rien ?

Entre Mai 68 et son entrée au PS, Melenchón aurait « travaillé »

Après les années lycée, Melenchón a obtenu une licence de philosophie. Il fut employé dans une imprimerie puis dans une entreprise d’horlogerie et enfin dans une station-service. Il paraît qu’il exerça aussi comme instituteur puis journaliste. Avec un tel parcours et quand on est EN PLUS issu de parents fonctionnaires, on peut se demander ce qu’il connait, lui, de la vraie vie.

https://twitter.com/DanyCalou/status/897439368650084353

Mais à worldtvdésinfo on a plutôt tendance à croire Dany : Melenchón n’a jamais vraiment travaillé. Après tout, que vaut sa maigre expérience du monde du travail face à celle de notre Président Emmanuel Macron ? Inspecteur des finances, rapporteur adjoint de la « Commission Attali » puis banquier d’affaires chez Rothschild avant de devenir secrétaire adjoint à l’Elysée et pour finir ministre de l’Economie sous Hollande. Voilà quelqu’un en contact avec la réalité des français et apte à nous causer travail-printemps !

Les années Mitterrand

La suite on la connait mieux que son obscure jeunesse. Melenchón, alors jeune sénateur de l’Essonne, a bien connu Mitterrand. Il était des festivités lorsque les chars rouges ont débarqué sur l’Elysée après l’élection de celui qu’il appelle affectueusement « le vieux ». Encore aujourd’hui, il est le seul homme à le défendre contre vents et marées. Même Christophe Barbier, pourtant plus lucide d’ordinaire, lui reconnaît des qualités : une certaine constance et une évidente loyauté. Mais qu’est-ce qu’on s’en fout… Comme si c’était important d’être droit dans ses bottes en politique ! Et la loyauté, c’est un concept si désuet. Melenchón est décidément un être rétrograde, d’un autre temps. Il est clair que son intention n’est autre que de faire plonger la France et si possible le reste du monde avec elle. D’ailleurs…

Des signes troublants

Melenchón est né un 19 Août. Force est de constater que ce n’est pas une date anodine.
Est-ce un hasard si depuis la nuit des temps les 19 Août sont des jours où de nombreuses catastrophes se produisent ? Trop nombreuses d’ailleurs. Je n’en citerai que quelques-unes à titre d’exemple : certains scientifiques (comme Alex Jones, principale source information du Président Trump) estiment que l’extinction des dinosaures se serait produite un 19 Août, de même que la mort de Lucy. John Deacon, bassiste du groupe Queen (qui nous a rabattu les oreilles pendant des années, souvenez-vous), est né le même jour de la même année que lui. Et puis moi personnellement, je me suis tapé le petit orteil dans un coin de porte le 19 Août dernier. Tout le monde sait à quel point ça fait mal.

Une terrible prédiction

Le célèbre Nostradamus avait d’ailleurs prévu qu’il se passerait quelque chose de terrible en cette année 1951. C’est ainsi que l’on peut lire dans le Centurie VI, Quatrain 35 :

Pres de Rion, et proche a blanche laine,
Aries, Taurus, Cancer, Leo, la Vierge,
Mars, Jupiter, le sol ardra grand plaine,
Bois et citez lettres cachez au cierge.

Il faut savoir que Rion ou Rioni est un fleuve de Géorgie, pays natal de Staline. Nostradamus avait ainsi prévu que Melenchón virerait rouge. La mention de Jupiter est évidemment limpide. Ce qui est inquiétant c’est la suite de la prophétie : la plaine en feu, le cierge caché, du bois, des lettres… Cela ne présage rien de bon. Afin d’en être certains, nous avons retrouvé Kévin, militant En Marche, père du cahier d’été mais aussi le plus ardent ennemi de Mélenchon. Kévin est en effet fin spécialiste en ésotérisme :

« D’après mes analyses, Nostradamus annonce ici la fin du monde. En réalisant quelques calculs très complexes basés sur la position des planètes citées par Nostradamus le 19 Août 1951, j’en conclus que la fin du monde arrivera le jour des 66,6 ans de Mélenchon. C’est-à-dire le 25 Mars 2018 ! »

C’est donc le moment d’aller au marché et de faire le plein de fruits et légumes car l’apocalypse est proche ! N’oublions pas non plus que Melenchón a pu se présenter à la présidentielle 2017 car il avait récolté… 666 signatures. Et ce n’est pas tout ! D’après certaines rumeurs, basées sur l’analyse de tableaux anciens, Mélenchón serait en réalité bien plus vieux qu’il ne le prétend. La première trace de Mélenchón remonterait à l’an 1351. Ce qui lui ferait donc… 666 ans !  Trop de signes pour que cela ne soit qu’une simple coïncidence !

Voilà pourquoi tout est de la faute de Melenchón

Rien d’étonnant donc à ce que le monde ait commencé à mal tourner depuis que Melenchón est né. L’échec de la Juventus, les catastrophes écologiques, la dérive de la langue française,  la canicule… Il a beau essayer de se rattraper avec son programme « humaniste et écologique » ou des films de propagande sur sa vie, rien n’y fera. Nous ne sommes pas dupes ! Tout dans la vie de Melenchón nous conduit inéluctablement à la fin du monde. Il a échoué en 2017 mais restons sur nos gardes car la bête n’est pas vaincue. Jean-Luc Schwarzenchon l’a dit lui-même :

 « I’ll be backchon ».