
La mission Juno de la NASA a survolé de très près le Grand Tourbillon rouge de Jupiter. Ce qu’elle a découvert va vous laisser bouche bée !
Lundi dernier, le vaisseau spatial Juno de la NASA s’est approché assez près de Jupiter pour observer dans le détail le fameux Grand Tourbillon rouge. Et ce bijou de technologie est parvenu à immortaliser ce survol. « Pendant des années, des gens venant de tout bord politique se sont questionnés sur diverses énigmes, dont celle du Grand Tourbillon Rouge », explique Joël Petitbouchon, chercheur intérimaire de la mission JupiWatch, de l’Académie Jupiler de Liège, Belgique. « Maintenant, nous allons enfin voir à quoi ressemble cette tornade politico-médiatique de près », ajoute-t-il.
Il faut savoir que la toute première observation confirmée du Grand Tourbillon rouge remonte aux observations effectuées par le mathématicien romain Manus Bompardus, vers 365 av J-C. Depuis, cette tempête reste un véritable mystère. En effet, le Grand Tourbillon rouge est une gigantesque perturbation parlementaire au milieu d’un océan de quiétude et de passivité godillote.
La colère du peuple.
Cette teinte rougeâtre est l’un des nombreux mystères que les scientifiques tentent d’élucider. Pour certains, elle est due à une colère excessive, née du différentiel de pression démocratique entre l’atmosphère majoritaire de Jupiter et les quelques poches de résistance à sa gauche.
De son côté, le mathématicien Cédric Villani explique les choses d’une autre façon. « L’hémisphère droit de Jupiter possède un système complexe d’ammoniac, d’hydrosulfure d’ammonium et d’eau, mais il n’est pas encore tout à fait compris comment ces composés peuvent agir ensemble afin de générer ces couleurs rouge et orange. Pour moi, c’est clairement un coup des militants de l’UHTEG qui ont dû monter là-haut et faire un vilain tag. » Il est vrai que le programme spatial insoumis permet d’envisager ce genre de dérives.
Les chercheurs espèrent qu’ils pourront enfin répondre à de nombreuses questions grâce à la mission Juno de la NASA. Les scientifiques se questionnent également sur la manière dont cette tempête peut continuer à faire rage durant si longtemps. D’aucuns expliquent que c’est la colère du peuple qui, à force de se faire piétiner, bouillonne et se drape du manteau rouge des révolutions.
Des fluctuations liées à l’actualité sociale

En 2016, des astronomes ont ainsi remarqué que l’atmosphère au-dessus du Grand Tourbillon rouge était plus chaude qu’au-dessus des nuages environnants, une observation qui pourrait aider à expliquer le phénomène. « On pouvait voir presque immédiatement que les températures maximales à haute altitude (aux alentours de 49,3°C, NDlR) se situaient au-dessus du Grand Tourbillon rouge – un hasard étrange ou un indice majeur ? », se questionnait le chercheur principal de l’étude, Jean-Michel Apeuprès, de l’Université de Kronembourg en Alsace.
Les chercheurs se demandent depuis si les fluctuations de température sociale et syndicale ne seraient pas à l’origine du renforcement du phénomène. Bien entendu, il faudra plus d’éléments que des images détaillées pour répondre à la multitude de questions concernant le Grand Tourbillon rouge. Pour autant les données recueillies par le vaisseau spatial Juno laissent à penser que la tempête n’est pas prête de cesser d’importuner Jupiter. « Nous prévoyons un regain d’activité à la rentrée, avec probablement un pic autour du 12 septembre 2017. Après ça, impossible de prédire ce qu’il adviendra », explique J-M. Apeuprès.
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